« Lorsqu’une porte se ferme
1000 autres portes s’ouvrent »
Parfois au détour d’une phrase,
d’une pensée, d’une prise de conscience,
tu as rendez-vous avec toi-même.
En lisant ce post sur Facebook,
j’ai pris une grosse claque !
Cette citation, on connaît.
Genre : quand une porte se ferme,
c’est parce qu’une autre porte est
prête à s’ouvrir
et toutes les déclinaisons
Sûr, ça nous encourage et nous
motive à accepter que les choses
ne sont pas comme on voudrait
qu’elles soient.
Ça aide à lâcher prise,
ça concerne les situations où
la porte qui se ferme t’est imposée.
C’est une philosophie soutenante,
et elle t’a sûrement déjà aidé.e
dans ta vie.
(sinon, à adopter tout de suite 
)
Ce qui m’a ramenée à moi,
c’est ceci :
Accepter une porte qui vient
de se fermer peut être
difficile.
Mais le plus difficile, c’est de
fermer soi-même une porte
qui doit être fermée.
(pour que d’autres portes aient la possibilité
de s’ouvrir ou d’être ouvertes)
On sait qu’il faut fermer cette
porte (la plupart du temps)
mais…
on tient tellement à ce qui est
même si on sait qu’en fermant
la porte, on ira vers autre chose,
vers quelque chose de mieux,
on ne ferme pas cette porte…
et on reste à patauger,
misérablement dans le
pire des cas…
Pourquoi?
La grosse claque? Je te raconte
ma prise de conscience.
J’ai une salle à manger que j’adore,
des meubles de famille
que j’ai moi-même rénovés,
ça donne un style unique et un
charme fou
bref, je l’aime d’amour et j’y tiens
vraiment vraiment beaucoup
mais!
avec ses 12 places, elle est beaucoup
trop grande pour le séjour actuel
Et pourtant je n’arrive pas à m’en
séparer!
Je la donne? c’est un morceau
de mon cœur qui part avec
(exagéré, je suis d’accord)
Je la vends? j’en aurai peut-être
quelques petites centaines d’euros
puisqu’elle n’est plus
dans l’état d’origine
(opération financière désastreuse)
Je la mets en garde-meuble?
dépense stupide, je n’en aurai
probablement plus d’utilité
Donc, je fais du sur-place depuis
quelques mois maintenant, dans
l’impossibilité de (me) décider.
Ce n’est qu’un objet mais j’y
suis attachée – ça c’était ce que
je croyais
mais en descendant un peu
plus profondément dans mes ressentis,
j’ai trouvé autre chose !
Je ne parvenais pas à me décider
jusqu’à ce que je me rende compte
de ce qui est vraiment caché derrière
tout cela.
Tu veux savoir ?
LA PEUR DE MANQUER!!!
Pour la coach que je suis,
b… j’ai pris une claque !
La peur de manquer =
la peur de ne pas pouvoir
m’offrir le même mobilier
si un jour j’ai à nouveau
l’espace qui va avec
(peur totalement infondée)
Sous mon incapacité à me défaire
d’un mobilier encombrant,
se cachait encore un reliquat
de conscience de pénurie.
Quand j’ai capté les vraies
motivations qui se cachaient
derrière mes tergiversations,
j’ai immédiatement pris action.
Et toi? Quelle porte sais-tu
que tu dois fermer?
Quelles personnes sais-tu que tu
dois laisser aller hors de ta vie?
Quelles sont les choses dont tu dois
te séparer pour avancer?
Qu’est-ce qui t’encombre et qu’il est
souhaitable que tu lâches?
(au propre comme au figuré)
Quelles peurs réelles se cachent
derrière ton obstination à
maintenir ce qui doit partir?
La peur de manquer?
La peur d’être seul.e?
La peur de t’être trompé.e?
La peur QUE CE SOIT ENCORE
PLUS DIFFICLE QUE CE QUE TU
CONNAIS?
Ça c’est une des plus courantes.
Derrière cette peur, il y a la peur
de l’inconnu,
et derrière cette peur de l’inconnu,
il y a le cinéma que tu te fais
que ce sera pire qu’avant
alors que rien ne le prouve…
et que tout porte à croire
que ce sera bien mieux qu’avant
(d’expérience )
Lâcher, laisser aller, donner,
vendre, jeter, renoncer,
se séparer
avec déterminaCtion,
idéalement avec joie
-> cela envoie deux signaux puissants à la Vie :
1. tu fais de la place pour la nouveauté
2. tu es confiant que ce sera mieux après
Des signaux impactants, dont tu mesureras
la portée !
Quelle porte vas-tu refermer
doucement derrière toi dans les
prochains jours?
Garance
Pour accroître ta confiance
et ta capacité à créer ta vie rêvée,
il y a un Code, et Alain l’a cracké pour toi.
Oui, je veux acquérir le code de création
de ma vie rêvée