Comment le Coronavirus va augmenter la somme de tes galères avec 100% de certitude

Non, non, je n’ai pas de boule de cristal.
Je ne suis pas non plus Madame Irma.
Encore, que dans mon cas,
ce serait
 plutôt Monsieur Irma :-p

Depuis le début de ce brassage médiatique –
comme pour d’autres d’ailleurs –
je bouillonne, 
je fulmine, je peste…
et bien d’autres choses encore !

Mais surtout, je suis consterné et
 attristé.

Pas pour les Chinois (enfin pas seulement).

Je pense surtout aux dégâts que ce virus media
va répandre partout où il passe. Et il est bien
plus dévastateur que le Coronavirus !

Partout où il passe, c’est-à-dire dans
ta vie à toi peut-être.

Dans celle de tous ceux qui écoutent la
 radio,
regardent la black box ou lisent 
les journaux.

Dans la vie des femmes et des hommes
qui me suivent depuis longtemps.

Et dans celle de tous les autres.

Je ne pouvais pas me taire, non !

Tu dois te demander si je n’ai pas
déjà attrapé le nouveau Péril Jaune
et si je ne suis pas en train de divaguer.

Que nenni !

Les médias sont encore merveilleusement
à l’œuvre pour semer l’inquiétude
dans 
le cœur et l’esprit des gens.

Le cœur, l’émotionnel.
L’esprit, le rationnel.

Ils s’y entendent à merveille.
Ils sont – malheureusement – payés
 pour cela.

Que se passe-t-il, quels sont les rouages ?

Quand tu regardes les news à la télé,
on te décortique tous les faits,
les malades, les morts, les statistiques,
(au passage on essaie de te fourguer
un
 énième vaccin),
on crée ou on nourrit en toi la peur, l’angoisse,
l’incertitude du lendemain (comment me
préserver? Serai-je encore en vie pour
la naissance de mon petit-fils
si j’attrape cette saloperie ? ).

L’esprit humain – notre mental dont
je te parlais hier justement – ADOOOOORE
les bad news, les trucs qui font peur,
son sport favori c’est s’inquiéter…
et il est champion pour faire monter
l’angoisse en nous.

Et c’est exactement ce qui fait plaisir aux
élites mal intentionnées qui nous 
gouvernent.

L’un d’eux a dit – il y a un siècle
 maintenant –
(paraphrasé)
‘Nous voulons des gens qui travaillent,
pas des gens qui réfléchissent’
(I don’t want a nation of thinkers.
I want a nation of workers.
John D. Rockefeller)

Tant que tu es noyé.e dans ton marasme,
à essayer de tenir d’un chèque de paie
 à l’autre,
en étant dans l’angoisse de
 ne pas y parvenir,
ou d’attraper une
 cochonnerie asiatique,
il y a moins 
de probabilité que tu réfléchisses
à la meilleure façon de te libérer du
 joug
de ton boss pour devenir
financièrement 
indépendant.

Ça c’est une stratégie connue.

Les médias l’appliquent.

Mais en plus, en ayant des émotions
 de peur,
d’angoisse, tu vas avoir 
de plus en plus de raisons
d’être
 dans l’angoisse. Pas juste pour ta santé,
non, c‘est tout ce qui te rend anxieux qui va être amplifié.

C’est comme cela que nous,
êtres 
humains, fonctionnons.

C’est exploité contre nous.

Car le propre des peurs…
c’est qu’elles se réalisent.

Alors ?
+ de peur =
+ des galères que tu redoutes

Tu n’en as pas marre de te laisser
 manipuler ?

Tu peux dire non !
En disant oui, ici

Alain

PS : cette photo de l’album Astérix et Obélix est troublante ?
Source : Astérix et la Transitalique